Ce jeu est un grand classique que nous avons acquis pour un euro aux puces en août dernier. Matthieu, qui a une vision très fine des pièces qui sont disposées devant lui, est très performant. Nous y jouons vraiment volontiers avec lui.
A mesure que Matthieu grandit, les jeux de société que nous sélectionnons deviennent aussi intéressants pour les adultes que pour les enfants et Thierry et moi n’avons plus l’impression que nous jouons avant tout pour stimuler Matthieu. Cela devient, pour nous aussi, un réel plaisir. Heureusement, car durant ces vacances, nous avons passé quelque chose comme quatre heures en moyenne par jour à jouer avec les enfants.
Sans le vouloir, nous stimulons Agathe aussi. Elle a eu 5 ans seulement en octobre et pourtant elle commence à lire et surtout, elle calcule très vite -y compris de deux en deux ou de trois en trois- les scores qui lui sont soumis à l’occasion de nos différents jeux.
Elle parle, parle, parle encore, ce qui est un objet de fascination pour nous et une insatiable source de communication et de stimulation pour son frère.
L’autre jour, par exemple, elle se demandait comment « était le monde, au tout début, quand il n’y avait que des enfants ». Son frère lui a répondu le plus naturellement du monde en lui exposant la théorie du Big Bang. C’est à ce type de petits échanges que nous sentons que la communication verbale de Matthieu est vraiment devenue fonctionnelle.
A mesure que Matthieu grandit, les jeux de société que nous sélectionnons deviennent aussi intéressants pour les adultes que pour les enfants et Thierry et moi n’avons plus l’impression que nous jouons avant tout pour stimuler Matthieu. Cela devient, pour nous aussi, un réel plaisir. Heureusement, car durant ces vacances, nous avons passé quelque chose comme quatre heures en moyenne par jour à jouer avec les enfants.
Sans le vouloir, nous stimulons Agathe aussi. Elle a eu 5 ans seulement en octobre et pourtant elle commence à lire et surtout, elle calcule très vite -y compris de deux en deux ou de trois en trois- les scores qui lui sont soumis à l’occasion de nos différents jeux.
Elle parle, parle, parle encore, ce qui est un objet de fascination pour nous et une insatiable source de communication et de stimulation pour son frère.
L’autre jour, par exemple, elle se demandait comment « était le monde, au tout début, quand il n’y avait que des enfants ». Son frère lui a répondu le plus naturellement du monde en lui exposant la théorie du Big Bang. C’est à ce type de petits échanges que nous sentons que la communication verbale de Matthieu est vraiment devenue fonctionnelle.